Poésie d’Arlette Février-Muzard.

Qu’importe

Pour moi rien n’est trop grand
Mais rien n’est trop petit
Dans le souffle du vent
Se cache l’infini

Dans la faune et la flore
Aux multiples langages
Soudain j’ai vu “ »éclore
Les traits de son visage

C’est sa main qui conduit
Le monde des planète
C’est son cœur qui me dit
Qu’ici rien ne s’arrête

Dans l’air que je respire
J’ai senti son parfum
Qu’importe alors mourir
Puisque hier c’est demain.

Arlette Février-Muzard.

Danser

Il y a deux feux follets
Cachés au fond des yeux
Plus je les vois danser
Plus je me sens heureux

Lumière flamboyante
Venue du fond des cieux
Tendre et si charmante
Joli cadeau de Dieu

Arlette Février-Muzard.