Il y a tout juste un siècle, le 1 octobre 1917, l’imprimerie librairie de la gendarmerie nationale éditait ce fascicule reprenant les termes de la loi contre l’ivresse sur la voie publique.
À l’époque, toute personne trouvée en état d’ivresse était conduite à ses frais, « … au poste le plus voisin ».
En outre, toute personne condamnée deux fois en police correctionnelle pour délit d’ivresse… pouvait être déchue, à l’égard de ses enfants et descendants, de la puissance paternelle.
Il se risquait à une condamnation ferme allant de 6 jours à 1 mois de prison. Et le fait de faire boire jusqu’à l’ivresse un mineur âgé de moins de 18 ans était passible d’une amende de 16 à 300 francs
Dans ce lien vous découvrirez toutes les sanctions que le législateur avait prévues pour enrayer le fléau de l’ivresse. C’était il y a un siècle.
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6151390k/f1.image
Quittons nous avec Claude Nougaro, sous le balcon de Marie Christine